Surprenante Thérapie ! … La Suite

En accord avec L’Artiste, l’auteur du récit « Surprenante thérapie ! » publié récemment, j’ai laissé mon imagination faire vivre à Mireille et Pierre de nouvelles aventures.

Je vous invite à lire le récit de l’Artiste avant de continuer votre lecture.

Certains lecteurs, ayant lu mes souvenirs de jeunesse, connaissent notre vie à Martine mon épouse et moi-même. Ils comprendront que j’ai intégré dans ce récit quelques moments de notre vie intime, lorsque Martine s’exhibait pour mon plus grand plaisir.

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… Au petit matin, les rayons du soleil naissant s’infiltrèrent au travers des jointures du volet et sortirent Mireille de son sommeil. Elle rechercha son docile compagnon auprès d’elle, puis réalisa qu’il se trouvait à même le sol. Elle le regarda un instant. Par jeux, elle tendit un pied en sa direction et lui caressa doucement la joue pour le réveiller. Ce dernier, surpris, ouvrit un œil en ronchonnant.

« - Hum ! j’suis naze !
« - Je suis naze… qui ? Aurais-tu déjà oublié ? Pour la peine, tu vas aller me préparer le p’tit-déj, je suis trop fatiguée pour me lever !

Mireille escomptait juste commencer la journée sur une note humoristique en taquinant gentiment son chéri qu’elle espérait guéri, mais à son plus grand étonnement, il s’étira et répondit :

« - Bien sûr, ma reine, ne bougez pas, j’y vais !
« - Euh, attends, nous devons en parler ! Je pense qu’il nous reste pas mal de trucs à éclaircir !

Et beaucoup d’autres à mettre au point…

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Restée seule dans le lit conjugal, tandis que Pierre prépare le café, Mireille s’interroge : « Hier soir je me suis bien amusée, mais il ne faudrait pas que ça devienne une habitude. En bonne pette épouse, je me suis préparée comme il fallait pour cette soirée, mais j’ai épousé mon gendarme car j’aime quand il me prend à la hussarde, sans rien me demander ».



Tant pis pour le petit déjeuner au lit, Mireille veut remettre les choses à leur place. Elle se lève, enfile une nuisette légère pour cacher sa nudité avant de rejoindre son adjudant-chef à la cuisine.

Terminant de préparer un plateau pour sa Reine, jus d’orange, café et croissant, Pierre est surpris de voir arriver sa tendre épouse, mais ravi de la tenue suffisamment transparente pour lui redonner du tonus.
Mireille ne lui laisse pas le temps de parler :
« - Oh mon roi, je suis ta fidèle servante.

L’expression est suffisamment claire pour faire comprendre à Pierre que le jeu d’hier est terminé, un autre peut commencer. Elle rajoute, devant les yeux incrédules de son mari :
« - Fais de moi ce que tu veux.

Cette fois, il a compris, après le café, elle passera à la casserole.

Tandis qu’il se brule la langue en buvant trop vite son café trop chaud, des coups retentissent à la porte. D’un bond, le chef se lève pour ouvrir à un gendarme exalté qui parle trop vite pour que Mireille depuis la cuisine n’entende clairement l’objet de l’urgence.

Elle comprend, au ton autoritaire de son mari, que lui seul peut décider, il donne des ordres qui vu le ton ne devraient pas être contestés. C’est comme ça qu’elle l’aime, sûr de lui, autoritaire.
Le pauvre gendarme qui regrette d’être de garde ce jour-là, essaie de ne rien oublier des ordres qui lui tombent dessus, alors qu’il est distrait par la vision qu’il a eu dès son arrivée, la femme de son chef, une tasse de café à la main en nuisette transparente. Le léger contrejour ne lui cache rien des charmes de cette femme qui le fait rêver chaque fois qu’elle traverse la caserne.
Non pas possible ! Elle se lève pour porter sa tasse vide dans l’évier, dévoilant ses longues jambes et ses cuisses nues, un galon en dentelle soulignant le bas des fesses. Avant de partir, il a juste le temps de se faire la remarque que la femme de son adjudant-chef est une fausse blonde.


De retour dans la cuisine, Pierre retrouve sa Reine qui lui saute au cou pour lui clore la bouche d’un tendre baiser. Direction le lit conjugal.
Le regard du gendarme l’a troublée plus qu’elle ne veut se l’avouer. Face à Pierre qui reprend le jeu commencé plus tôt « Je suis ton roi, viens… », Mireille improvise :
« - Tu es mon adjudant, mon Chef, je suis une petite gendarmette qui sort de l’école, dernière arrivée dans la brigade. A vos ordres monsieur.
« - Pas monsieur, on dit Chef.
« - Bien chef.

Jouant son rôle à la perfection, Pierre ouvre son pantalon, baisse son caleçon et regardant sa femme dans les yeux :
« - Montrez-moi ce que l’on vous a appris à l’école.

Il aurait aimé lui dire « suce salope ! », mais c’est sa femme. Sa bonne éducation le lui interdit. Il préfère une métaphore plus propice au jeu.

Mireille comprend ce que l’on attend d’elle, sans hésiter elle se met à la tâche, un ordre est un ordre. A genou devant son mari, après une rapide branlette, elle enfourne la bite de son Chef avec appétit. Elle se démène sur cette queue, tétant le gland, essayant de toucher le pubis avec son nez comme elle l’a vu faire sur les sites internet lors de ses recherches. Très douée pour la chose, elle y arrive sans aucune difficulté.

Pierre pose sa main sur la tête de la gendarmette à genou devant lui, pas besoin de la guider elle sait ce qu’elle doit faire, il suit docilement le mouvement.
Sentant qu’il ne va plus tenir longtemps, il essaie de s’extraire de cette bouche accueillante pour inonder les seins qu’il vient de découvrir, mais Mireille veut en profiter jusqu’au bout, une fois n’est pas coutume. S’agrippant aux cuisses velues de son mari, elle est bien placée pour recevoir le premier jet dans sa gorge. Elle laisse son gendarme de mari finir ce qu’il a commencé, et la bouche pleine de sperme, Mireille regarde Pierre dans les yeux. Celui-ci, toujours influencé par les vidéos porno qu’il regarde en cachette, a envie de lui dire « avale ! », mais sa foutue éducation lui souffle de ne rien dire.

Mireille de son côté ne sait quelle attitude adopter « non, ça je ne peux pas ». D’un bond elle est dans la salle de bain, Pierre l’entend cracher dans le lavabo, et se rincer la bouche à grand bruit.
Elle revient, nue, le visage radieux. Cette apparition bouleverse Pierre. Mireille connait ses classiques, après un baiser langoureux, elle lui susurre :
« - Je n’ai pas été obéissante Chef, il faut me punir.
« - …
« - Je mérite une fessée.

Pierre s’assoie sur le lit et sans un mot allonge sa femme sur ces cuisses puissantes, sa bite raide contre son ventre. Et Paf ! une grande claque sur les fesses fait sursauter Mireille, ne s’attendant pas à être prise au mot avec autant de vigueur.

Au bout de 3 ou 4 claques bien toniques, ses fesses virent au rouge. Pierre n’est pas un bourreau, après la punition demandée, il envisage une récompense bien méritée.
Sa main se fait plus douce, les claques ne sont plus que des caresses. Déposant une bise sur le rouge des fesses, sa main s’infiltre dans le sillon et commencent à lui titiller son petit trou.
Mireille préfère cette façon de faire. Afin de ne pas décourager les bonnes intentions de son mari, elle écarte les jambes, exhibant sa chatte humide sous son petit trou dans lequel Pierre vient d’enfoncer un doigt.
Les caresses se font plus précises. Comme toujours Pierre cherche l’efficacité, un doigt dans le cul, deux dans la chatte, le pouce pressant le clito, Mireille ne tient plus, un cri strident sort de sa gorge signe d’un orgasme hors du commun. Pierre se félicite de ne pas habiter la caserne, ce qui aurait manqué de discrétion.
Mireille reprend lentement son souffle. Pierre l’allonge sur le lit, s’alonge à côté d’elle, la prend dans ses bras, leurs lèvres se soudent tandis qu’il glisse sa queue prête à exploser dans la chatte dégoulinante à sa disposition.
Ils jouissent ensemble, d’un même cri.

Reprenant ses esprits, Pierre se souvient qu’il y a urgence à la caserne, il doit aller sur place vérifier que ces ordres ont bien été suivis.


Rapide passage dans la salle de bain. Il laisse la place à Mireille qui mettra la matinée à se remettre de son réveil, et à calmer le feu de ses fesses.

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Pierre est occupé toute la journée. Mireille pourra se reposer après un rapide déjeuner qu’ils absorbent en coup de vent en début d’après-midi.

Mireille réfléchit à cette situation nouvelle, leurs jeux réciproques lui plaisent, mais elle se rappelle le regard du gendarme ce matin quand elle prenait son café. Un rapide coup d’œil dans un miroir lui a révélé ce qu’il a vu. Une main entre les cuisses, elle se caresse doucement l’imaginant à l’étroit dans son pantalon.
Son esprit vagabonde, elle repense aussi à l’autre jour, lors de la bagarre dans la rue. Sa robe s’était relevée, sa culotte n’avait aucun secret pour les personne présentes, et elle se souvient avoir dû remettre en place un sein en mal de liberté.
Ses caresses se font plus précises, goutant le plaisir d’avoir été vue nue. Elle se pince les tétons alors qu’un nouvel orgasme la submerge.

Après avoir repris ses esprits, et un thé à 5 heures, Mireille décide de faire part à son mari de son désir profond comme lui l’a fait il y a quelques jours avec bonheur.

Elle écrit en s’appliquant :

« « Mon chéri,

Nous vivons des moments merveilleux, je t’aime. Mais il faut que je t’avoue un fantasme.
Je ne voudrais pas que tu me juges. Comment te dire ?
J’aimerais que des hommes me voient nue, oui tu as bien compris j’ai envie de m’exhiber, ou plutôt j’ai envie que toi tu m’exhibes.

L’autre jour, lors de la bagarre, tu as dû voir que ma tenue n’était pas des plus digne, ma jupe relevée laissait voir ma culotte, et j’avais les seins à l’air. J’ai été honteuse de m’exposer ainsi à mon corps défendant, mais j’ai ressenti un immense plaisir en remarquant les regards qui me détaillaient. Une révélation.

Mon chéri, permet moi de vivre mon fantasme au moins une fois. Pas ici bien sûr, je ne te demande pas de m’exposer nue devant toute ta brigade, non, même si parfois cette image a hanté mes nuits.
Je suis certaine que tu trouveras un jour l’occasion de me satisfaire sur ce point qui devrait aussi te plaire.

Ne dis rien de cette lettre que je te demande de détruire. Et fais-moi une surprise.
Je t’aime,
Ta femme pour toujours,
Mireille » »

Mireille relit, corrige quelques fautes d’orthographe, elle n’a jamais été très douée. Aura-t-elle le courage de la lui donner ?

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La journée a été chargée, Pierre rentre fatigué. Il n’a qu’une envie, se retrouver devant la télé, voir un film ou une série bien nulle qui ne lui demandera aucun effort. Heureusement, comme tous les soirs, il a le choix.

Sur le canapé, Mireille pas vraiment emballée par les images qui défilent sur l’écran, se fait câline, elle lui mordille l’oreille, se frotte contre son bras. Bien vite Pierre, mu par son instinct de mâle, glisse une main sous le t-shirt de sa femme, et entreprend un pelotage en règle de celle qui n’attendait que ça. Sa main glisse le long de sa cuisse pour forcer l’étroit passage à côté de sa culotte déjà bien humide.
Mireille, connaissant son mari quand il est fatigué, ne veux pas perdre l’avantage. En un tour de main, elle est nue, sa jupe et sa culotte rejoignant sur le fauteuil son t-shirt et son soutien-gorge. Encore un petit effort, le pantalon de Pierre rejoint ses affaires.
Elle entreprend alors une longue branlette de son mari qui essaie non sans mal de suivre le film.

Mireille prend les choses en main, à califourchon, elle dirige la chose qu’elle a en main contre sa chatte, et se laisse lentement descendre pour s’assoir sur les cuisses de son mari. Sentant son gland atteindre le fond, Pierre comprend à cet instant qu’il ne verra pas la fin du film.

Leurs soirées télé se suivent et se ressemblent pour leur plus grand bonheur. Ayant l’habitude de regarder la télévision ensemble, ils ont eu le loisir, depuis des années, de tester plusieurs postures. La plus pratique, la levrette, tous les deux tournés vers l’écran, qui leur permet de suivre le film en même temps.

Cette fois, ils se font face. Pierre saisit sa femme aux hanches et la fait rebondir sur ces cuisses, s’enfonçant un peu plus à chaque rebond, au grand bonheur de Mireille qui étant vaginale aime que son mari aille au fond des choses. Tandis qu’elle saute allègrement, elle a la difficile tâche, en posant ses deux mains sur les épaules de son mari, d’assurer la stabilité de l’ensemble.

La vigueur des coups et la douceur du fourreau dans lequel il coulisse ont raison de Pierre. Au bout de 1 minute et 25 secondes, chrono en main, il pousse un grognement caractéristique annonçant à Mireille la fin des hostilités. Un jet puissant lui inonde la chatte en feu, et déclenche un orgasme qui lui fait perdre la notion de temps. Sans avoir la force de s’embrasser, Pierre et Mireille reprennent leur souffle, ils reviennent à eux petit à petit, alors que la publicité a remplacé le film dont ils ne connaitront jamais la fin.

La nuit fut calme pour Pierre et Mireille qui s’endormirent du sommeil du juste, la conscience tranquille, du devoir bien fait.

Le lendemain Pierre est déjà au travail quand Mireille émerge de ses rêves. Sentant son mari dans de bonnes dispositions, Mireille est décidée à lui donner sa lettre. Elle la dépose sur la table du salon, avant de partir retrouver sa copine faire les boutiques du centre commercial.
Son mari la trouvera avant qu’elle ne rentre, ses après-midis de shoping durent toujours plus qu’il ne faut. Même quand elle n’achète rien.

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En rentrant, Pierre est intrigué par la lettre qu’il trouve bien en évidence sur la table. Il la relit deux fois, croyant avoir mal compris le désir de sa femme.

L’évocation de cette fameuse bagarre, quand son sein et sa culotte attiraient l’attention de tous, le trouble. Que va-t-il pouvoir faire ? Toujours soucieux de faire plaisir à sa tendre épouse, il ne peut pas rejeter une telle demande. Mais tout de même, elle a de drôles d’idées.

Pierre se mit à réfléchir à la meilleure façon de procéder. Il va sur Internet consulter quelques sites porno pour se donner des idées.

Avec la rigueur et la précision dus à sa formation, il s’organise. Son choix se porte sur le bord de mer qu’il connait bien, y allant en vacances dans sa jeunesse chez ses grands-parents. Ce sera le week end prochain, il réserve une chambre dans le bel hôtel de la plage :
« - Fait les valises chérie, départ vendredi, nous allons passer deux jours au bord de la mer.

Habituée à obéir aux désirs de son seigneur et maitre, Mireille ne demande pas plus d’explications. Intérieurement elle espère, mais elle en a aussi un peu peur.

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La chambré est grande, la salle de bain somptueuse, le balcon, non plutôt la terrasse donne directement sur la plage, la vue est magnifique. Mireille admire le paysage, collé derrière elle, Pierre a passé ses mains par devant, il lui pelote les seins, et très lentement remonte sa robe, laissant admirer sa culotte à qui voudrait voir, mais ils sont seuls.
Mireille sent sur ses fesses l’effet qu’elle produit sur son mari.

Soirée en amoureux dans un petit restaurant du port.
En sortant Pierre entraine Mireille pour une balade le long de la jetée. Il connait bien les lieux, adolescent, un peu voyeur, il venait épier les amoureux qui se croyaient à l’abris parmi les rochers. Fasciné de les voir s’embrasser, il suivait la progression de la main des garçons sous la jupe des filles, et avec un peu de chance, il pouvait voir un sein jaillir du corsage des belles demoiselles.

En se remémorant sa jeunesse, Pierre tient Mireille par les épaules, petites bises dans le cou, de sa main libre, il déboutonne son chemisier, elle n’a rien dessous, elle marche fièrement les seins à l’air.
Au bout de la jetée, face à la mer, il ouvre en grand son chemisier, Mireille se cambre, les seins en avant imitant l’héroïne du Titanic. Comme sur la terrasse, Pierre pose les mains sur ses hanches et remontent sur ses seins qu’il pelote consciencieusement. Il lui murmure à l’oreille :
« - Ne tourne pas la tête ma chérie, là derrière le gros rocher, il y a deux hommes qui nous regardent, ils doivent se branler.

Mireille se fige, essaie maladroitement de fermer son chemisier, mais Pierre veille. Tout en lui tenant les bras, il déboutonne son pantalon qu’il fait glisser sur ses cuisses en entrainant sa culotte. Mireille frissonne, pas de froid. Les deux voyeurs se sont légèrement décalés pour mieux voir. Pierre, une main sur ses seins, l’autre part à la découverte de son trésor. Mireille se retourne brusquement, se colle à son mari et l’embrasse tout en montrant ses fesses :
« - Vient, on s’en va.

En regagnant leur voiture, Mireille referme un bouton de son chemisier, « Si on croisait quelqu’un » dit-elle hypocritement.

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Le lendemain matin, grasse matinée et petit déjeuner sur la terrasse.

A midi, déjeuner de fruits de mer. Le garçon n’a d’yeux que pour le décolleté de Mireille. Pierre le reconnait, c’est celui qui a porté le petit déjeuner ce matin, il avait failli renverser son plateau, troublé par la transparence de la nuisette de sa femme.

Dans l’après-midi, Pierre et Mireille décident de se promener en ville, ils vont se perdre dans les petites rues.
En passant devant une boutique de lingerie, Pierre propose à sa femme de lui offrir une parure comme celle portée par le mannequin en vitrine, soutien-gorge à balconnet et string.

Mireille n’a jamais porté ce genre de sous-vêtement. Elle a envie d’essayer, c’est tout de même l’idéal pour montrer ses fesses tout en gardant un semblant de dignité.
Une jeune femme la conduit dans une cabine avec les articles de son choix. Laissant le rideau à moitié ouvert, Mireille enlève sa robe et apparait nue, enfin presque, elle a encore sa petite culotte, hygiène oblige.

Les essayages se succèdent avec plusieurs modèles, tous plus beaux, plus sexy les uns que les autres. La vendeuse, empressée auprès de Mireille, l’aide de son mieux. Elle lui place les seins dans le bonnet du soutien-gorge, les empoignant à pleine main l’un après l’autre. Voir une femme peloter ainsi son épouse met Pierre dans tous ses émois, tandis que Mireille goutant cette nouvelle caresse devant son mari, ne peut s’empêcher de rougir.

Saisie aux hanches par la vendeuse aux mains si douces, Mireille admire dans le miroir le soutien-gorge plus destiné à mettre sa poitrine en valeur qu’à la cacher :
« - Vous êtes splendide. N’est-ce pas monsieur ?
« - …
« - Votre femme va faire des ravages.

Mireille rougit sous le compliment, sachant comme Pierre que lui seul pourra en profiter.

En sortant, Mireille remercie son mari d’une grosse bise sur la joue, tout en se serrant contre lui pour continuer leur promenade :
« - Merci mon chéri,
« - Merci à toi, tu es merveilleuse.

Un peu plus loin, passant devant une nouvelle boutique de lingerie, il n’en manque pas dans cette rue commerçante, Pierre prend le bras de sa femme :
« - Tu ne veux pas essayer d’autres modèles ?
« - Non, on a assez dépensé aujourd’hui,
« - Qui te dit d’acheter, j’ai dit essayer…
« - Dans ce cas.

Lui dit-elle en entrant dans la boutique, où ils sont accueillis par un charmant jeune-homme venu en voisin, donner un coup de main.

Pierre est agréablement surpris que son épouse ait autant besoin d’aide pour enfiler un soutien-gorge ou une culotte.

Ils en ressortent plus d’une heure après, sans rien avoir acheté, malgré le désir de Pierre de faire un nouveau cadeau à son épouse. Mais Mireille est économe des deniers du ménage.

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De retour à l’hôtel, Pierre aurait bien voulu profiter de la piscine, et de la salle de fitness, surtout du sauna, afin de mettre en pratique ce qu’il a vu sur internet, qui certainement aurait plu à Mireille.
Dommage il est tard, ils ont prévu d’aller danser après diner, dans la boite au sous-sol de l’hôtel.

C’est le moment d’étrenner ses derniers achats. Mireille a prévu une petite robe à fleurs, dont le décolleté sera mis en valeur par son nouveau soutien-gorge, Pierre ne peux s’empêcher de bander en voyant pour la première fois son épouse en string, il se demande vraiment à quoi ça peut servir. Fesses nues, petit triangle couvrant avec peine sa toison pourtant bien taillée, Mireille est un véritable appel au viol, heureusement Pierre sait se tenir.
Il tique un peu lorsqu’ayant passé sa mini robe, il se doute qu’il ne sera pas le seul à profiter du spectacle, se gardant bien de faire une réflexion à Mireille, qui de son côté, se demande encore comment elle va faire pour s’assoir sans déclencher une émeute.

Lors du diner, Pierre peut admirer le string dont la robe un peu remontée ne cache rien. Heureusement, une grande nappe blanche aide Mireille à sauver sa pudeur, le garçon ayant surtout un gout prononcé pour ces seins qui décidément ont l’air de n’être là que pour lui.

… Direction le Night-Club.
La musique est forte, des danseurs s’agitent déjà sur la piste.
Assise sur un canapé, une coupe de champagne à la main, Mireille a oublié qu’il n’y a pas de nappe pour la protéger des regards. Pierre comprend vite l’intérêt des yeux qui se tournent vers eux. D’autant que Mireille de plus en plus amoureuse, accrochée à son bras, n’en finit pas de l’embrasser dans le cou en faisant des réflexions sur les danseurs, la demoiselle qui montre ses fesses quand sa jupe vole, le minet avec son jean moulant, il a un beau petit cul non ? Cette grande blonde, le maquillage outrancier, et cette autre, pas possible c’est une professionnelle celle-là ?
Pierre aime les commentaires de sa femme, un peu pipelette, il a l’habitude.
Mireille refuse l’invitation de deux hommes qui dans un autre contexte auraient eu toutes leurs chances.

Pierre se décide enfin, il entraine Mireille sur la piste. Pas très courageux, c’est un slow, faut bien commencer par quelque chose de facile.

Reprouvant leur jeunesse, Pierre et Mireille dansent langoureusement l’un contre l’autre, leurs lèvres se rejoignent, leurs langues se cherchent et se trouvent. La main de Pierre glisse le long du dos de Mireille, hésite un instant et lentement lui caresse les fesses. Mireille à peine surprise, se colle un peu plus à son cavalier, sentant la bosse de son pantalon.

La série de slows se termine. Pierre et Mireille se regardent, se sourient, s’ils avaient été seuls, il l’aurait prise là, sans réfléchir. Son regard descend sur le décolleté tant prisé du serveur. Une idée lui vient, il défait un bouton, un deuxième, entrouvrant la robe entre les seins. Il lui glisse à l’oreille « ce n’est pas bien de montrer ses sous-vêtements », et en un tour de main, défait son soutien-gorge qui finit sa course dans sa poche. Mireille doit se dire que son petit mari devient vraiment coquin, mais c’est elle qui l’a voulu.
La musique repart, cette fois plus tonique, un rock and roll. Ils connaissent, et même des figures assez compliquées qu’ils avaient étudiées pour épater les copains le jour de leur mariage.
Et c’est parti. La robe vole dans tous les sens, Mireille ratt un sein épris de liberté. Très vite dépassée par les événements, elle les laisse libre de vivre leur vie, une fois dedans une fois dehors. Les figures se succèdent pour le bonheur des quelques spectateurs toujours heureux de suivre les bons danseurs. Mireille se voit dans un miroir placé au bord de la piste, sa robe se soulève de telle façon qu’à chaque passe personne ne peut ignorer la couleur de son string.
Depuis un moment déjà, Pierre avait constaté ce phénomène de physique élémentaire, et faisait tourner sa femme de plus en plus rapidement pour dévoiler ses fesses à un public averti.
Quand la musique s’arrête, Mireille un peu dépoitraillée, se blotti contre Pierre en respirant fortement. Celui-ci la soulève de joie et fait remonter sa robe jusqu’à la taille exposant ses fesses nues aux chanceux qui sont dans le bon axe.
Mireille n’est pas aussi naïve que ce qu’il pourrait penser, elle apprécie la manœuvre, pensant que ce n’est pas grave puisqu’elle a une culotte, d’accord c’est un string, mais c’est bien une culotte. Jusqu’où va se nicher l’hypocrisie des femmes.

Mireille rejoint sa table en lissant sa jupe et réajustant son décolleté, un verre de champagne bien frais leur permet de se remettre de leurs émotions.

Laissant passer plusieurs danses, Mireille se lève d’un bond en reconnaissant avec plaisir les première mesures de « Rock Around the Clock » :
« - Mon chéri, encore une danse.
Son œil brille…

Il brille encore plus lorsque trois heures plus tard, ils décident qu’il est l’heure d’aller se coucher.
Plusieurs spectateurs restés pour les regarder quittent la salle peu après.

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Mireille est encore dans la salle de bain lorsque le garçon vient porter le petit déjeuner sur la terrasse, dommage.
La porte à peine refermée, Mireille arrive juste vêtue d’une culotte en dentelle blanche, et tout sourire va s’installer les seins à l’air face à son mari et à son bol de café.
Pierre a failli s’ dix fois en mangeant, il se demande si des voisins peuvent profiter de leur petit déjeuner. Insouciante, Mireille n’a pas arrêté de lui sourire, contente de l’effet qu’elle lui fait, après autant d’années de mariage.

Le Week end se termine, le retour est prévu après le déjeuner au restaurant de la piscine. Pierre boucle les valises, tandis que Mireille choisi sa tenue, elle veut finir en beauté, chemisier blanc légèrement transparent. Suite à son regard interrogateur, Pierre lui fait signe qu’un soutien-gorge est inutile. Elle se regarde dans le miroir, et hoche la tête se demandant s‘il n’exagère pas un petit peu.

Elle a prévu une jupe légère, arrivant à mi-cuisse. Pierre veut lui aussi finir en beauté :
« - Mets ton string, celui que nous avons acheté hier.
« - Impossible, je l’ai porté hier soir, il est sale,
« - Alors ne mets rien.
« - Quoi ?
« - Oui, ne mets rien.

Obéissante, Mireille s’exécute. Le contact du tissu froid sur ses fesses l’a fait frissonner.
Pierre est content du résultat, les fesses de sa femme tendent bien le fin tissus de sa jupe.

En arrivant à table, Mireille doit retenir sa jupe qu’un léger vent à tendance à faire se soulever. Pas très rassurée, elle se tient les jambes bien serrées, imaginant que tous les yeux sont braqués sur elle n’attendant qu’une minute d’inattention de sa part. Elle rosit de ses pensées.
En mangeant, elle fait beaucoup moins attention au garçon qui à chaque passage plonge dans son décolleté avec une satisfaction évidente, ayant rapidement constaté que sa poitrine est aujourd’hui totalement libre.
Pierre remarque qu’à la table voisine, deux messieurs, surement des hommes d‘affaires, sont ravis de la transparence du chemisier de Mireille. Phénomène prévisible, son imagination aidante, il se trouve à l’étroit dans son pantalon.

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Retour par l’autoroute, dans trois heures ils seront chez eux.
Mireille somnole, les jambes appuyées sur le tableau de bord, son chemisier entrouvert offre à Pierre le meilleur spectacle qu’il soit. Il fait chaud, les fenêtres sont ouvertes, une légère brise rafraichi la voiture et fait voler bien agréablement sa jupe.

Un coup de klaxon la fait sursauter, Ils viennent de doubler un bus. Le chauffeur remercie Mireille au nom de ses admirateurs. Elle ne s’est aperçue de rien, devant son air étonné, Pierre lui fait remarquer :
« - Tu viens de faire des heureux. Tu peux te rendormir.

Arrivé au péage, le ralentissement de la voiture tire Mireille de sa léthargie, Elle va pour rectifier sa tenue, et s’assoir plus convenablement, Pierre pose sa main sur son bras :
« - Non, reste comme tu es.

Pour payer, Pierre cherche sa carte bancaire. L’employé qui surveille le bon déroulement des opérations lui vient en aide, mais il est plus attiré par les jambes et le décolleté de Mireille.
Celle-ci tient bien son chemiser fermé devant elle, et dans un accès de pudeur, tourne ses jambes de l’autre côté. C’était sans compter sur un camion sur l’autre file. Le chauffeur prend son temps, la regarde avec un grand sourire, il a une vue plongeante. De satisfaction, il lève son pouce vers le haut. Débute alors un dialogue silencieux entre Mireille et ce chauffeur, beau mec au demeurant.
Dans une prière muette, il joint les deux mains. Mireille fait non de la tête, mou de désapprobation du chauffeur qui joue de son charme. Devant son sourire enjôleur, Mireille ouvre lentement les pans de son chemisier, lui dévoilant sa poitrine, dont les tétons saillants sont un signe qui ne trompe pas. Le chauffeur lève à nouveau son pouce « parfait », mais il en veut plus, nouvelle prière mains jointes. Mireille jette un coup d’œil vers son mari, osera-t-elle ?
Pierre se bat toujours avec sa carte bancaire. Sans lever les yeux, Mireille soulève sa jupe en écartant un peu les jambes, le chauffeur au première loge ne rate rien du spectacle. Pierre prend conscience que cette fois sa petite femme s’exhibe sciemment, il doute qu’elle ait oublié ne pas avoir de culotte. Un titillement dans son pantalon lui confirme que ça ne lui déplait pas.

Ils n’ont jamais passé autant de temps à un péage, derrière les coups de klaxon montrent l’impatience des automobilistes. Alors que Pierre redémarre, le chauffeur envoie un baiser en guise de remerciement.

Mireille, les seins encore à l’air, sourit, contente de son petit effet. Pierre lui renvoie un sourire, prouvant combien il a apprécié son initiative.


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Sans hésiter, Pierre s’engage sur la première aire de repos. Mireille est surprise, il ne reste qu’une demi-heure de route avant d’arriver.

La voiture est garée tout au bout du parking. Avant que Mireille n’ait pu prononcer la moindre parole, Pierre l’enlace et colle ses lèvres sur les siennes.
Perspicace comme toutes les femmes, Mireille a une petite idée de la suite des évènements. Son adjudant-chef n’y va jamais par quatre chemins quand il a une idée en tête. A peine le temps de dire ouf, elle est nue, lui aussi. Les vitres de la voiture se couvrent d’une épaisse buée rendant impossible de savoir ce qui se passe dans le véhicule.

Pierre repart, ils n’ont perdu que 42 minutes sur leur prévision… enfin perdu n’est peut-être pas le terme exact.

Le soir, fatigués de leur week end, Pierre et Mireille se sont couchés tôt, ils s’embrassent repensant à ces deux journées. Heureux dans les bras l’un de l’autre, ils en oublient même de faire l’amour.
En ronronnant, Mireille murmure à l’oreille de son mari :
« - Merci mon chéri, pour ce merveilleux week end.

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EPILOGUE

Pour ne pas sombrer dans une habitude toujours néfaste au couple, Mireille devient Reine ou gendarmette au grès de leur fantaisie.
Chacun voulant créer la surprise, soucieux de satisfaire son conjoint, ils ont à chaque fois joué le jeu, avec amour.

Une seule fois, ils eurent la même idée le même soir. Pierre aurait dû être alerté par la petite robe d’été que Mireille avait mise avec son string, alors que nous étions en plein hiver, les casernes sont bien chauffées, mais tout de même.
Un peu surpris de se télescopage de leurs envies réciproques, d’un accord tacite, ils décidèrent qu’il fallait innover.
Alors ils innovèrent... La Compagnie s’en souvient encore, non pas que leurs cris aient empêché de dormir toute la caserne cette nuit-là, leur maison n’étant pas assez proche, mais l’arrivée de l’adjudant-chef, le lendemain matin, avec 2 heures de retard à la réunion du groupement n’était pas dans son habitude. Même le colonel a remarqué les cernes sous les yeux de Pierre :
« - Des problèmes cette nuit Chef ?
« - Tout va bien, la situation est sous contrôle.
Expression militaire qui clos la discussion, sans avoir à entrer dans le détail.

Avec les beaux jours, lorsque les contraintes de travail lui en laissent le temps, Pierre ne manque pas d’emmener Mireille passer le week end dans leur petit hôtel en bord de mer.

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